Il y a une quinzaine de jours nous avions évoqué, un vendredi soir déjà, « Prius La Voiture qui Attire LES MEUF ». Il est vingt-deux heures, c’est Minuit chicanes.
Nous avons récemment évoqué « l’utopie d’Henry Ford » dans une mini série de deux Minuit chicanes successifs. Un des commentaires était fort à propos, signalant l’influence d’Henry Ford sur le national socialisme allemand, article du Monde diplomatique à l’appui.
Tout cela n’est évidemment pas sérieux… Normal, il est vingt-deux heures, l’heure où nous entrons dans une autre dimension, celle des chicanes.
Peut-être certains ou certaines auront-ils ou auront-elles été déçu(e)s par le dernier Minuit chicanes de la semaine, vendredi soir.
Un peu à la manière d’un Minuit chicanes pas si éloigné de nous que cela, ce soir, je vous propose de mettre les pieds dans la marmite de l’automobile.
Suite et fin de notre Minuit chicanes consacré à « l’utopie d’Henry Ford ». Où l’on découvre le pourquoi du comment des guillemets du titre choisi.
Ne lui donnons pas de visage (nous comprendrons demain soir, à la fin des deux épisodes consacrés, dans Minuit chicanes, à l’utopie de Henry Ford) ou alors celle de l’une de ses usines.
Qu’attendrions-nous à trouver devant l’Hôtel Lutetia, à Paris ? Des Aston Martin, des Bentley ?
Les obsessions ont du bon. Il est vingt-deux heures, installons-nous bien confortablement dans ce dernier Minuit chicanes de la semaine.
Ce soir, en cette heure à peine tardive, je vous invite à porter un autre regard sur un pan du monde de l’automobile. Décidément, la question de la sécurité routière débarque en force dans Minuit chicanes… Est-ce grave docteur ?