3. Equipement : rien à envier
De ce côté non plus, la Kia Stinger n'a rien à envier aux Allemandes qu'elle défie, à part peut-être la conduite semi-autonome. L'approche de la Stinger est en fait comparable à celle d'une Alfa Giulia : vous êtes là pour conduire une voiture enthousiasmante, par pour vous reposer excessivement sur elle. Bref, la Kia a le nécessaire, pas le superflu. Quand on dispose d'une alerte de collision imminente, d'un régulateur de vitesse intelligent, de la lecture des signaux routiers, d'une aide active au maintien de voie, de la surveillance d'angle mort, d'un détecteur de fatigue, de feux de jour automatiques, de 7 airbags (dont un genoux) et d'un capot actif pour la protection des piétons, on a largement ce qu'il faut. Et comme nous l'avons souligné, pas une seconde nous n'avons trouvé la moindre de ces aides intrusives. C'est ce qui nous plaît le plus. Même le contrôle de stabilité se fait plus tolérant une fois le mode Sport engagé.
Bien sûr, l'envie d'être seul maître à bord n'empêche pas le confort. Un siège proposant six zones de réglages (électriques), chauffés et ventilés à l'avant, chauffés à l'arrière, un affichage tête haute, des rétros électro-chromatiques, un hayon à ouverture motorisée, des caméras 360°, une recharge de smartphone par induction et la connectivité Apple Car Play et Android Auto, ou encore une Hi-fi Harman-Kardon 720 watts à 15 haut-parleurs : tout cela n'empêche pas un conducteur d'être impliqué dans ce qu'il fait. Conclusion, entre ce chapitre et ceux qui précèdent, tout porte à croire qu'un seul mot était affiché en grand dans tous les bureaux de ceux chargés de concevoir la Kia Stinger : PLAISIR. Ce qui peut augmenter le plaisir est dans la voiture, ce qui peut lui barrer la route n'y est pas.
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