Volkswagen a initié un « dieselgate » dont la fumée a maintenant enveloppé l’ensemble des constructeurs automobiles. Pour faire face à ce scandale qui se règle à présent à coût de fortes indemnités et de non moins onéreuses procédures judiciaires dans le monde, le groupe allemand doit surveiller ses comptes pour faire face. Quitte à se séparer de certaines de ses marques pour garder les caisses intactes. Récemment, le constructeur de moto Ducati a été cité pour une possible vente. Le début d’une longue série ?
C’est une enquête financière qui est dans la droite file d’un « dieselgate » aux ramifications décidément infinies. L’écho scandale des moteurs diesels truqués par le groupe Volkswagen pour les rendre vertueux au regard des émissions polluantes se répercute jusque dans les places boursières. C’est ainsi clairement le cas en Allemagne où des dirigeants de Porsche sont dans le collimateur.
Le groupe automobile français PSA continue sa procédure qui fera à terme de l’allemand Opel une marque de sa famille. Déjà composée de Peugeot, de Citroën et de DS, elle s’embellira d’Opel et de Vauxhall. Ainsi, l’assemblée générale a approuvé à une écrasante majorité l’agrandissement du groupe. Malgré une mauvaise nouvelle.
Le logo Lego casse des briques avec ses briquettes qui font sa réputation. Un jeu de construction qui s’ouvre à divers domaines, dont celui de l’automobile. Une entrée dans cet univers qui a capté toute l’attention des passionnés, au point de justifier l’ouverture d’une gamme de produits de plus en plus riche. Un nouveau modèle pourrait bien égayer bientôt la proposition : la Volkswagen Golf Mk1 GTI.
Voilà une nouvelle qui n'a pas dû plaire à Carlos Tavares, le patron de PSA Group. Le géant français a en effet licencié trois de ses représentants allemands après qu'une grosse campagne de vente ait mené à la commercialisation d'un nombre non négligeable de 208 à - 40 %.
Cette semaine, c’est l’une des conséquences collatérales du fumant « Dieselgate » qui se joue du côté du Conseil européen. Une affaire qui a révélé à quel point la réglementation imposée sur les émissions polluantes restait le plus souvent lettre morte, après être passée par différents filtres chargés de donner des certificats d’homologation de complaisance. Jusqu’à vicier l’essence même des textes. Il faut donc revoir sa copie sur l’homologation. La France en est d’accord. Mais l’Allemagne, pas du tout.
Caradisiac a eu l'opportunité de visiter l'usine Volkswagen de Dresde, dont les lignes d'assemblage ultra-modernes accueillent désormais la production de l'e-Golf, véhicule à motorisation 100% électrique. Un endroit étonnant.
La voiture autonome est toujours la grande idée du moment. Cependant, cette marche vers cet engin qui roule tout seul a des airs du vol d’Icare. Plus on croit se rapprocher de la solution, mieux on s’y brûle les ailes. Las accidents arrivent, montrant que la mise au point est en cours. Mais l’intérêt est là au point que des projets, tel le Phénix, voudraient comme renaître de leurs cendres. Ainsi celui d’Apple. Qui ne serait plus tout seul.
Les émissions polluantes dans le domaine automobile sont une affaire sérieuse depuis que Volkswagen a été pris les doigts dans le boîtier électronique Bosch, pour rendre ses moteurs diesels vertueux. Un terme depuis est né, celui de « Dieselgate ». Mais qui n’est plus le seul apanage de la marque allemande. On sait depuis que ses concurrents ne sont pas moins irréprochables sur le sujet. Mais il en est particulièrement un qui agace de l’autre côté du Rhin. Et ça peut même tourner à tout moment à l’incident diplomatique.
Daimler semble vivre l’enthousiasme juvénile du bon élève qui sait qu’il a fait un bon trimestre au bahut et qui attend avec impatience son bulletin pour le présenter fièrement et avec délectation à ses parents. Le fils prodige en l’occurrence est Mercedes Benz dont les ventes sont promises comme plus que satisfaisantes. La tendance a été annoncée et on attend maintenant les résultats.