L'État veut accélérer la mise en place de péages en circulation libre. Mais les portiques équipés de caméras demandent de gros investissements aux sociétés d'autoroutes. Celles-ci veulent donc des contreparties.
La Tesla Model 3 est l'un des modèles qui suscite la plus forte curiosité actuellement. Caradisiac a eu l'opportunité de traverser la France à son volant pour un grand test en conditions réelles. Au programme, 760 km d'autoroute entre Aix-en-Provence et Paris, aux 130 km/h réglementaires. Et devinez quoi...
Eviter la queue aux guichets des barrières de péage, avoir une comptabilité séparée et simplifiée pour leur règlement : plusieurs solutions sont offertes aux gros rouleurs en alternative au classique paiement par carte ou en liquide, du télépéage aux cartes de paiement dédiées.
La société APRR vient d'inaugurer sur l'A6 une station-service qu'elle gère elle-même, avec une nouvelle marque. Elle propose ainsi des prix plus attractifs par rapport aux autres aires. Une petite révolution ?
Les sociétés concessionnaires sont très intéressées par les portions d'autoroutes non concédées et par des nationales. Avec un argument pour convaincre l'État : celui-ci n'a plus les moyens de les entretenir.
Révélé par la presse, commenté par l'Arafer, l’accord conclu le 9 avril 2015 entre l’État et les sociétés concessionnaires d’autoroutes (SCA) n'a toujours pas été rendu public, ni communiqué à celui qui a été le premier à le réclamer. Après le tribunal administratif, le Conseil d'État vient pourtant de confirmer que le ministre de l'Économie et des Finances n'avait d'autre choix que de le dévoiler. Alors comment expliquer un tel refus depuis près de quatre ans maintenant ? Caradisiac a demandé son avis à Raymond Avrillier, cet écologiste grenoblois, membre de l'association Anticor, à l'origine de toute cette procédure.
Le Droit administratif est généralement une matière qui aide plus à lutter contre l’insomnie qu’à passionner les foules. Mais il est aussi connu que le diable se niche dans les détails, et cette matière en compte beaucoup. À point qu’elle peut se révéler sensible. Prenez l’exemple de l’accord conclu en 2015 entre l’État et les sociétés concessionnaires des autoroutes. Il était placé sous le sceau d’un secret souhaité par les parties prenantes. Un verrou que le Conseil d’État a fait sauter, le dernier acte d’une longue procédure initiée par un certain Raymond Avrillier. Qui n’en est pas à son coup d’essai. Les deux ministres de l’époque doivent-il s’inquiéter ? Il s’agissait de Ségolène Royal pour les Transports et d’un certain Emmanuel Macron pour l'Économie…
Une bonne et une mauvaise nouvelle en ce 1er février. D'une part, les sociétés d'autoroutes mettent en place une réduction de 30 % pour ceux qui font souvent le même trajet. Mais d'autre part, les prix des péages augmentent.
Le gouvernement et les sociétés d'autoroutes ont enfin trouvé un accord. Ces dernières vont proposer des offres d'abonnement à prix avantageux pour les conducteurs qui effectuent régulièrement le même trajet. Mais de manière générale, les prix augmenteront bien le 1er février.
Vinci, qui avait fait polémique en fin d'année dernière en annonçant vouloir demander les frais de passage de péages à ceux qui sont passés gratuitement pendant le mouvement des gilets jaunes, annonce que ce même mouvement a eu des conséquences. Le trafic sur le réseau Vinci a en effet stagné en 2018, alors qu'il aurait dû progresser.