L'accord qui prévoyait zéro licenciements secs dans le groupe jusqu'en 2029 vient d'être rompu, car VW va mal et pourrait bien fermer des sites sur le sol allemand. Quelles sont les raisons de cette mauvaise santé ?
L'INFO DU JOUR - L'équipementier français a annoncé hier la fermeture de deux usines et d'un centre de R&D sur le territoire national. 1 000 salariés sont concernés, et vont, potentiellement, perdre leur emploi.
Ils pouvaient choisir deux voitures de fonction à l'année dans toutes les marques du groupe. Un avantage maintenu, mais Oliver Blume, le patron de VW leur demande de renoncer à la marque de luxe. Une quinzaine des 200 cadres concernés ne l'entend pas ainsi et attaque la direction au tribunal. Un procès cocasse à venir.
Les ennuis techniques s'accumulent pour le groupe. les réseaux s'en plaignent et la direction tente de temporiser en désignant des responsables.
Après un début d’année positif le marché des flottes a reculé de 6,3 % sur le mois de mars 2024. Malgré tout, selon les chiffres publiés par l’Arval Mobility Observatory, le premier trimestre demeure positif (+4,63 %). Mais après une année 2023 exceptionnelle, les premiers signes d’essoufflements se feraient-ils sentir ?
Après avoir boosté leurs bénéfices sur les voitures neuves, les constructeurs s’attaquent à l’autre grande source de profit qui leur manquait : celle du marché de la seconde main dont ils tirent les prix vers le haut. Adieu la bonne occase.
La vente à "prix coûtant" démarre dès ce vendredi chez Carrefour et Leclerc. Est-ce une si bonne nouvelle pour le pouvoir d'achat et les porte-monnaie ? Au mieux, cela ne fera guère plus de quelques euros gagnés par plein !
Les temps sont durs pour les petits garagistes, composantes essentielles du paysage automobile. Face aux difficultés, certains ont pourtant trouvé des moyens de continuer à avancer. Ils témoignent.
Les actionnaires de TotalEnergies peuvent se frotter les mains, les dividendes vont couler à flots. Le groupe pétrogazier français vient d’annoncer un bénéfice net record de 20,5 milliards de dollars pour l’année 2022. Un chiffre en augmentation de 28 % par apport à 2021 qui est aussi l’un des plus hauts jamais enregistrés par une entreprise du CAC40.
L’année 2022 a été compliquée pour les loueurs de véhicules, qui ont dû faire face à la pénurie de voitures neuves, un contexte international incertain et l’inflation galopante. Conséquence, des prix moyens en France et à l’étranger en hausse de 38 %.