Nouveau rebondissement dans l'affaire Volkswagen : l’agence américaine de protection de l'environnement affirme que la tricherie sur les émissions polluantes concerne également le bloc V6 3.0 TDI, qui équipe aussi des Audi et des Porsche. Le groupe VW dément l'information.
Nissan présentera aux US sous la forme d'un prototype un véhicule électrique bien connu chez nous : le Renault Twizy. Bien entendu, le losange disparaîtra dans l'opération au profit de l'emblème de la marque japonaise.
La General Motors n’en a peut-être pas fini avec ses problèmes d’allumage. Alors que Volkswagen commence à contester au blason américain le titre de la plus grosse et de la plus onéreuse campagne de rappels de véhicules sur la planète, un nouveau souci se présente pour la marque qui a récemment accepté de verser 793 millions d'euros pour obtenir l'arrêt d'une procédure judiciaire aux Etats-Unis. Dans un premier temps, 3.300 véhicules, essentiellement en Amérique du Nord, vont être rappelés.
L’administration américaine n’est pas moins équipée en télévisions que ses homologues par-delà la planète. Et elle n’a pas moins remarqué que les autres que dans les scènes de guerre diffusées, on y voit souvent des pickups aménagés comme véhicules bien utiles pour user d’une artillerie aussi meurtrière que mobile. De quoi se poser des questions. Le Trésor américain a donc décidé d’éclaircir cette conjoncture en s’interrogeant pourquoi l’Etat islamique aimait à ce point les Toyota.
Le retour de la marque française premium DS est attendu pour 2020 aux État-Unis. C'est ce qu'indiquent des rumeurs récentes. La firme de l'hexagone vendra ainsi des voitures en Europe, en Asie et outre-Atlantique.
Cela pourrait être un amende record et historique dans le monde de l'automobile. Les Etats-Unis et son agence de l'environnement EPA accusent en effet le groupe Volkswagen d'avoir triché sur les tests d'homologation sur ses véhicules diesels (uniquement ceux équipés du 2.0 TDI, chez Volkswagen et Audi, donc). Le gouvernement américain parle d'une amende de 18 milliards de dollars.
Lexus est le premier constructeur haut de gamme des ventes de véhicules aux États-Unis du mois d'août. BMW est quant à lui le leader outre-Atlantique sur les huit premiers mois de l'année.
Aux Etats-Unis, la mondialisation n’est pas une fatalité qui doit être supportée par le plus grand nombre. Et puis, de l’autre côté de l’Atlantique, on a la mémoire de la parole donnée et des mots prononcés lorsque la crise sévissait. C’est du moins ce qui est acquis dans le monde de l’automobile où le puissant syndicat UAW a fait savoir à la General Motors qu’elle n’avait pas été sauvée par les deniers publics et les efforts de ses petits personnels pour fabriquer et importer en Amérique des voitures chinoises.
La petite découvrable deux places fait un véritable carton au Japon. Des bruits de couloir évoquent qu'une version européenne est en préparation. De plus, un cadre dirigeant de la branche américaine du constructeur a indiqué qu'une distribution outre-Atlantique du modèle est à l'étude.
On ne sait s’il y a un lien de cause à effet avec l’annonce récente faite par BMW de réorienter sa stratégie vers plus de numérique dans ses véhicules. Ni avec le fait que les trois grands constructeurs allemands se soient approprié l’application cartographique Here de Nokia. Mais disons que la nouvelle relayée par le site aruco.com tombe à un moment où les grandes manœuvres préliminaires à l’enjeu de la voiture autonome semblent battre leur plein. Google Auto LLC est née, ce qui semble annoncer la voiture du moteur de recherche.