Le Code de la route a bien évolué ces dernières années tout comme l’application de ces dispositions. On sait qu’en 2017, de nouvelles opportunités pour nous sanctionner seront mises en œuvre, mais ce que l’on sait peut-être moins c’est que ce code permet aussi de soulever des problèmes autres que ceux de la sécurité routière. Démonstration avec la commune d'Aulnay-sous-Bois qui aimerait en finir avec… La mendicité agressive.
C’est reparti. Les particules fines sont repassées à l’offensive, véritables enzymes gloutons de la réputation automobile dans les rues de nos villes. Anne Hidalgo a remis son armure pour reprendre l’offensive et réclamer la circulation alternée tandis que les Français mis en accusation veulent se racheter une conduite en délaissant le diesel pour l’essence. Paris sous le smog est le cliché à la mode. Pourtant, on nous dit bien que ces particules sont invisibles. Allez comprendre… Manipulation ? Et si l’on parlait un peu du chauffage au bois ?
Depuis la mi-décembre, ils font parler d’eux. Ceux-là sont les véhicules de transport avec chauffeurs, des chauffeurs chauffés à blanc par leurs conditions de travail. Et notamment celles imposées par l’enseigne Uber à ses ouailles. Résultat, l’accès aux deux aéroports parisiens que sont Orly et Roissy est d’un coup d’un seul devenu un parcours du combattant, parfois au sens propre car des violences ont été constatées sur les sites. Depuis, c’est le calme. La magie de la trêve des confiseurs ?
C’est un intéressant point de vue qui est développé dans les colonnes du Figaro par un Éric Verhaeghe auteur d’un ouvrage « Ne t'aide pas et l'État t'aidera », paru en janvier de cette année aux éditions du Rocher. Il réagit à l’hystérie qui a saisi ces dernières semaines une classe politique de gauche convertie à l’écologie punitive et habité par un mépris d’une petite classe moyenne française en son temps qualifié de « sans dents » par le Président et bientôt sans voiture. Car c’est cette masse laborieuse qui va se retrouver d’ici huit ans sans moyen de locomotion.
Les pertes de chargement sur les autoroutes, cela arrive et les conséquences de ces délestages fortuits peuvent entraîner des accidents assez graves. Celle qui a été déplorée sur l’autoroute A36 n’a heureusement fait aucune victime ni d’autres dégâts qu’à la chaussée. Heureusement d’ailleurs puisque, pour le coup, il s’agissait carrément d’un char d’assaut.
On sait qu’après avoir bu il ne faut pas dépasser un taux d’alcoolémie sous peine d’être en infraction. Demain, sera-t-on verbalisé parce que l’on n’aura pas eu assez d’heures de sommeil ? Le réveil serait dur et une telle mesure ferait le lit d’une descente de mécontents dans la rue. Un cauchemar éveillé qui n’est pas près d’arriver. Cependant, des scientifiques ont démontré qu’un manque de sommeil pouvait être aussi dangereux au volant qu’une consommation abusive d’alcool.
C’est une situation qui perdure avec de fâcheuses conséquences pour le citoyen lambda. Rejoindre un des deux aéroports parisiens pour s’en aller retrouver les siens, et jouir, avec eux, des fêtes de Noël après une dure période de labeur, s’annonce en effet compliqué. Car les VTC sont toujours en colère et regrettent un régime général d’activité qui est pourtant le fondement même de leur existence. Sinon, ils seraient des taxis. Pendant ce temps, Uber, qui est la cible principale, campe sur ses positions tandis que l’État se demande ce qu’il pourrait bien faire pour sortir de cette galère.
Ce n'est pas la fin. Ce n'est même pas le commencement de la fin, mais, c'est peut-être la fin du commencement disait l’autre à une période plus troublée. Une vue d’esprit qui pourrait bien être appliquée à cet événement dans un monde industriel et commercial dominé par une constante : la victoire de l’Allemagne sur la France. Sauf que là, les tricolores ont dominé leurs voisins d’outre-Rhin au point qu’ils ont été contraints de fermer une usine sous la pression de la concurrence française.
Le drame qui s’est déroulé en Allemagne et plus particulièrement à Berlin, touché en plein cœur après un attentat revendiqué qui a ravagé son marché de Noël, a suscité émoi et marque de solidarité. Mais à trop vouloir bien faire ou suivre le mouvement, on finit par se prendre les pieds dans le tapis. Ainsi est-ce le cas de notre Sécurité routière qui a manifesté son affection aux victimes de cet effroyable carnage causé par un poids-lourd. Un camion qui, associé au slogan de la cause, crée un malaise.
Immense carambolage en Vendée à cause du brouillard, cinq morts
, mis à jour 62
L'accident a eu lieu ce matin sur la voie rapide entre les Sables d'Olonne et la Roche sur Yon. Au moins 50 véhicules sont impliqués, dont trois camions. Le bilan est très lourd, avec cinq morts et un blessé en urgence absolue.