La Suzuki-Maruti S-Presso est devenue l'une des citadines les plus vendues en Inde quelques mois après son lancement. Seulement voilà, ce bon début de carrière se voit terni d'un lamentable échec à l'exercice du crash-test.
Avec les mesures de confinement, les concessions indiennes sont restées fermées tout le mois d'avril. Résultat : aucune voiture n'a été livrée !
Le groupe indien Om Balajee Automobile vendait depuis 2013 des pousse-pousses ainsi que des deux roues badgés DMW sur son marché domestique. Une manœuvre ayant poussé l'Allemand BMW à le poursuivre en justice.
En dehors de l'Europe, Renault se spécialise dans les modèles à bas coûts. Quatre ans après la Kwid, le Losange vient de dévoiler en Inde le Triber, un petit monospace low-cost.
Le groupe PSA veut booster ses ventes hors d'Europe. Ses grandes marques vont se concentrer sur de nouveaux territoires. Pour Peugeot, ce sera l'Amérique du Nord.
Une course Uber se passe généralement bien, mais peut aussi réserver des surprises. L’actualité nous a déjà relaté le chauffeur qui filme les clients à leur insu, celui qui est à ce point impliqué par son travail qu’il en est à utiliser une bouteille pour se soulager, et voici à présent celui qui est en service tellement ivre qu’il finit par s’évanouir au volant. Et dans ce cas, que fait le client ?
C'était une tendance que nous avions déjà évoqué récemment mais qui se confirme : au premier semestre, l'Allemagne n'est plus le quatrième marché mondial, puisque l'Inde vient de prendre cette place après des mois de croissance soutenue.
Le salon de New Delhi ouvre ses portes cette semaine. Renault, très présent en Inde, sera présent avec un stand qui dévoilera un concept, LE concept, comme l'appelle le studio de design à son origine, qui nous en présente une image. Il devrait s'agir d'une citadine ou d'un mini crossover.
PSA: 1 milliard d'euros investis en Inde?
, mis à jour 21
D’après Bloomberg, le groupe PSA s’apprêterait à investir 1 milliard d’euros en Inde, en complément des 100 millions annoncés au mois de janvier dernier. Objectif : construire un site d’assemblage et une usine de moteurs, et renforcer sa présence dans un pays à l'énorme potentiel automobile.
Qui peut le plus a parfois du mal à faire le moins. Pour le géant Volkswagen, poser son immense empreinte sur les marchés émergents paraîtrait de prime abord un jeu d’enfants. Mais faire son poids ne suffit apparemment pas pour cerner ce sujet à ne pas prendre à la légère. Des alliances locales sont nécessaires avec des constructeurs déjà bien ancrés dans la zone visée. L’Allemand s’en rend compte et après une tentative avec Suzuki, voilà que l’échec est aussi au rendez-vous avec Tata qui ne sera donc pas parrain de l’aventure.