Un immense affaissement de terrain a eu lieu au Japon dans la ville de Fukuoka. Les images réalisées par les habitants et les journalistes présents sur place font froid dans le dos. Le gouffre est très rapidement passé de 8 mètres à 27 mètres de largeur.
Le jeu Pokemon GO est-il un fléau ? Sans doute pas car c’est avant tout à cause de celles et ceux qui s’en servent sans discernement qui font de cet amusement un drame. Des accidents ont déjà eu lieu de par le monde à cause d’utilisateurs inconscients. Mais cette fois, on en est à compter des morts.
PSA est plutôt confiant et le groupe français veut démontrer le potentiel de ses moteurs diesels à l'autre bout du monde, là ou le gazole n'a pas sa place et où essence, hybride et électrique (voire plus marginalement hydrogène) sont légion. Nous parlons bien entendu du Japon où PSA prévoit de lancer ses premières autos avec le bloc BlueHDI.
Vous avez probablement déjà vu de nombreux concept-cars dotés de petites caméras à la place des rétroviseurs. Eh bien sachez que le Japon est le premier pays au monde à autoriser officiellement cette technologie sur les modèles de série. La première auto au Japon qui aura droit à ces petits outils sera lancée dès l'an prochain. La porte ouverte pour que d'autres contrées se lancent à leur tour et autorisent enfin cette avancée ?
Les choses bougent chez Suzuki, sous la pression des révélations faites, et reconnues par le constructeur, sur des méthodes trompeuses de mesure de la consommation de carburant de ses voitures au Japon. Les hommes à la tête de l’entreprise vont changer. Sans tout perdre cependant.
Pointé du doigt pour ses résultats inexacts sur les performances énergétiques de ses véhicules, le constructeur Suzuki est revenu sur ce sujet sensible mis à jour 18 mai dernier. Avec un objectif : exciper de sa bonne foi et éviter l’amalgame avec un autre compatriote lui-même pris dans le même genre de scandale : Mitsubishi.
Aujourd’hui l’enseigne Speedy France est passé sous la coupe du fabricant de pneumatiques japonais Bridgestone. Prise de plein fouet telle quelle, la nouvelle aurait de quoi susciter les craintes de voir un pavillon tricolore intégrer l’empire du soleil levant. Mais que l’on se rassure, rien de tel.
Honda n’a pas fini de regretter ses accointances avec une enseigne Takata qui plombe l’ambiance dans nombre de conseils d’administration aux destinées des marques automobiles. Pas moins de dix ce celle-ci, et non des moindres, avaient fait confiance à l’enseigne japonaise pour équipier leurs modèles d’airbags. Des accessoires de sécurité qui s’avèrent à présent meurtrier en raison de défauts. Mais c’est encore Honda qui souffre le plus de cette situation.
Cela s’est fait quasi en catimini et entre Japonais. Alors que l’avenir de Mitsubishi était sur la sellette depuis la révélation d’une manipulation des tests portant sur la consommation de certains de ses véhicules, le constructeur nippon était dans la tourmente. Jusqu’à apparaître comme une proie pour ses concurrents prêts à mettre la main sur un blason aux perspectives intéressantes. Mais c’est Nissan qui a raflé la mise.
Avec la General Motors ou encore Volkswagen, le nom de Takata est entrée dans l’Histoire de l’automobile comme celui par qui le scandale est arrivé. Et pas qu’un peu. Déjà 28 millions de voitures rappelées de par le monde, de marques différentes, à cause de son airbag défectueux qui blesse gravement ou tue au lieu de protéger. C’est beaucoup. Mais le pire est encore à venir.
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