L’accident mortel causé par une voiture autonome qui a percuté une piétonne en Arizona a marqué les cœurs et les esprits d’un univers qui se réjouissait déjà la disparition du conducteur et du volant dans l’automobile de demain. L’homme au contrôle de son véhicule était le facteur à éliminer dans l’équation fatale de la mortalité routière afin de célébrer enfin une mobilité sûre et apaisée. Mais la machine a aussi ses bugs et une personne en a payé pour la première fois le prix le plus fort. L’enquête est en cours, mais déjà les spécialistes ont leur idée et certains n’hésitent pas à rappeler que la concurrence est vive dans le domaine.
Pour faire savoir son savoir-faire sur les technologies de conduites autonomes qu’il développe, le groupe Nissan a décidé de travailler sur des chaussons… Plus exactement, le constructeur automobile japonais, a décidé d’investir dans une auberge de jeunesse qu’il équipe d’un dispositif qui facilite la vie de ses hôtes. Une technologie qui dispensera les pensionnaires de ranger leurs meubles et leurs chaussons. Et pour cause : ils se chargeront eux-mêmes de trouver leur place…
L’automobile est aujourd’hui engagée dans une révolution qui s’articule autour de la connectivité, l’autonomie et l’électricité. De grands acteurs du secteur décryptent pour Caradisiac les enjeux de ce bouleversement des transports individuels.
Ce n’était encore jamais arrivé et d’aucuns pensaient que ça n’arriverait jamais. Sinon, pourquoi éliminer le facteur humain dans la conduite d‘un véhicule devenu autonome ? Mais ils se berçaient d’illusions. En Arizona, Elaine Herzberg, âgée de 49 ans, qui poussait nuitamment son vélo en traversant la chaussée en dehors des passages pour piétons a été mortellement percutée par une de ses voitures sous contrôle électronique. Les puces savantes, comme l’homme derrière le volant du véhicule test de l’enseigne Uber, n’ont rien pu faire pour éviter le pire. L’enquête est en cours, mais cet accident mortel rappelle certaines réalités, met à jour l’avis des constructeurs sur le sujet et signale que certaines questions essentielles restent en suspens…
Le sujet de la voiture autonome occupe beaucoup constructeurs et médias automobiles depuis quelques mois. Pourtant, rien de bien neuf à signaler du côté de Genève cette année.
Le MWC (Mobile World Congress) de Barcelone est le plus grand salon de la téléphonie au monde. Et en toute logique, l’automobile connectée de demain y a toute sa place. Caradisiac dresse en direct de la capitale de la Catalogne le panorama des nouveautés présentées par les constructeurs automobiles et les équipementiers.
Vous n'êtes pas sans savoir que les téléphones actuels ont énormément évolué, au point de devenir de véritables petits ordinateurs. Mais jusqu'où peuvent-ils aller ? Le géant chinois Huawei nous répond avec l'utilisation d'un smartphone pour piloter une Porsche Panamera.
Capteurs, caméras et autres logiciels pour automatiser et assister la conduite vont amener un nouveau marché pour les équipementiers qui se frottent déjà les mains. Chez Bosch, on estime le chiffre d'affaires lié à ces nouvelles technologies à plus de 2 milliards d'euros.
Avec une révolution automobile en marche promettant de futurs engins électriques en mesure de s’insérer dans le flot de circulation sans la moindre intervention d’un conducteur, les constructeurs de voitures continuent de repousser les frontières de leurs activités. Ils injectent des millions dans des start-up impliquées dans la nouvelle mobilité, s’unissent pour répondre au besoin de partager sa voiture ou se lancent carrément dans la conception d’un modèle autonome. Concernant ces deux dernières démarches, on retrouve un acteur très actif ces derniers temps : Daimler.
Les systèmes de conduite semi-autonome se développent de plus en plus sur les véhicules actuels. Même s’ils devraient représenter à l’avenir un progrès en matière de sécurité routière, une étude menée par les fondations Vinci Autoroutes et MAIF démontre toutefois la nécessité pour le conducteur de rester vigilant. Explications.