Si Andrea Dovizioso a signé pour rejoindre les hommes de Tech3 en 2012, c'est clairement pour espérer récupérer un guidon officiel Yamaha en 2013 au détriment de Jorge Lorenzo ou de Ben Spies. Un plan qui est logique, sauf que l'Italien semble oublier que le contexte du Moto GP est en plein bouleversement.
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Marco Lucchinelli est l'un de ceux qui a fait l'histoire des Grands Prix. Champion du Monde 500 en 1981 sur une Suzuki, il a aussi piloté pour Honda, Cagiva ou Yamaha et il a hanté les paddocks de 1976 à 1985.
Les Grands Prix, en cette saison 2011, ont franchi un cap historique. Une donnée statistique dont on se félicite rarement, puisqu'elle trahit le nombre de chutes constatées lors de l'exercice. Or, 2011 aura été une année record en ce triste domaine, dépassant largement la précédente performance en la matière qui remontait à 2008.
Son absence à la remise des trophées de la FIM au casino de Portimao n'est pas passée inaperçue. Tous les champions de la planète moto étaient ainsi rassemblés au Portugal, mais celui qui, a priori, devait être le clou du spectacle puisque sacré dans la catégorie que l'on dit suprême, était forfait.
Cette heureuse initiative nous vient des Pays-Bas et les subsides de sa vente iront à une association impliquée dans la thématique de l'autisme chez l'enfant. Voici une Yamaha R1 qui, en plus de fêter son demi-siècle d'implication en Grand Prix avec sa robe bi-ton blanche et rouge s'offre une parue en l'honneur de la légende vivante Giacomo Agostini.
C'est un hiver studieux que se réserve apparemment un Carmelo Ezpeleta cette fois bel et bien déterminé à faire plier les constructeurs dans son Moto GP. Il faut dire qu'il n'en reste plus que trois, dans un contexte économique qui est encore loin d'être sorti de la dépression.
Cela faisait un petit moment qu'Andrea Dovizioso décochait quelques piques à l'encontre de son compatriote Valentino Rossi. L'ambassadeur du Grand Prix d'Argentine programmé pour 2013 avait d'abord exprimé ses doutes sur le possible retour en haut de l'affiche d'un « Doctor » qu'il ne voit toujours pas en mesure de jouer les terreurs l'année prochaine avec la Ducati.
Pirelli a déjà dégainé son calendrier plus vivant bien que moins fonctionnel que celui de la Poste, mais voilà que la concurrence Monster pointe le bout de ses tétons pour mettre tout le monde d'accord. Finis les sujets dépressifs au regard perdu dans le vague au milieu d'une nature aussi morte que la suggestion pour célibataire exigeant.
Décidément, Randy de Puniet aura trouvé beaucoup de charme à l'Australie. Il y a débusqué l'incandescente Lauren Vickers pour mieux y mettre le grappin dessus, et il a fait connaissance avec les maîtres des Bobbers et autres Cafe Racers que sont les gars de Deus.
L'ouvrage arrive à point nommé pour les fêtes et il mérite, en toute solennité, d'être mis au pied du sapin. Et d'autant plus qu'une partie de ses bénéfices sera reversée à la fondation du nom de celui qui nous a quitté lors d'un maudit Grand Prix de Malaisie, il y a déjà deux mois.