Voici près de 30 ans, la R19 se découvrait et devenait le premier cabriolet compact à se passer d’arceau central. Une réussite esthétique aujourd’hui abordable mais qui attire de plus en plus d’amateurs…
Avec son dessin avant-gardiste et son moteur central, la Fiat X1/9 a tous les attributs d’une voiture de sport, sauf un : le moteur. Pourtant, légère et fine, elle offre des performances très décentes et son prix demeure intéressant. Aujourd’hui, on dégotte un exemplaire correct dès 6 000 €.
Quinze ans après l’arrêt de la MGB, la MGF relance le roadster à l’anglaise, sans pour autant céder au néo-rétro. Techniquement intéressante avec son moteur central, elle rencontre un joli succès, de sorte qu’on la trouve aisément en occasion, et à prix attractif qui plus est.
Dernier cabriolet Peugeot élaboré par Pininfarina, la 306 se démarque par sa grande élégance, d’autant qu’elle se passe d’arceau central. Pour autant, elle se déniche toujours à un prix plancher. Mais pour combien de temps ?
Volkswagen ne pouvait ignorer la mode néo-rétro et a lancé en 1998 la New Beetle, évocation de sa mythique Coccinelle. Plus chic que populaire, elle s’est déclinée en cabriolet dès 2003, une auto charmante permettant de rouler cheveux au vent avec style pour pas très cher.
Dans la longue tradition des coupés Peugeot, la 406 occupe une place de choix par sa beauté et ses qualités intrinsèques. Sa cote demeure très basse, aussi est-ce le moment de préserver les plus beaux exemplaires.
Architecture originale, rapport encombrement/habitabilité record, moteurs très modernes, le Multipla avait tout pour faire un carton. Mais les choix esthétiques de ses concepteurs n’ont pas exactement convaincu la clientèle…
Entre VR6 et R32, la Golf V6 4Motion associe le moteur de la première à la modernité de la seconde, le tout pour un prix inférieur à celui des deux. Peu connue mais extrêmement agréable mécaniquement, elle mérite d’être redécouverte.
Sous la ligne d’une banalité exceptionnelle, surtout pour une Citroën, la ZX cache un châssis ultramoderne qui a marqué son époque. Pourquoi ? Parce qu’il s’équipe d’un essieu arrière dit autodirectionnel. Associé au moteur de la 205 GTI 1,9 l, cela donne une agréable sportive qui deviendra redoutable avec le 2,0 l de 167 ch.
Si la cote des versions sportives Rallye et GTI a crevé le plafond, il reste des 205 sympas à conduire encore abordables : les GT, XT et XS. Dotées d’un bon rapport poids/puissance et de boîtes courtes, elles sont d’une nervosité étonnante.