La finition intérieure est japonaise, donc de bonne facture. Légèrement en retrait de la Honda Accord peut-être pour la qualité des matériaux, mais là on chipote. Comparée aux européennes du segment, elle se rapproche sur ce point de la BMW Série 3 et devance amplement une Alfa 156. L’habitacle de la Mazda 6 s’inspire de cette dernière à propos de l’ambiance intérieure sportive. La référence semble manifeste avec les aérateurs ronds ou la console centrale argentée façon titane/ faux carbone. L’instrumentation très lisible, les commandes douces et bien placées et les petits espaces de rangements suffisamment nombreux agrémentent le tableau. La panoplie des 6 airbags, les fixations Isofix et autres éléments sécuritaires répondent à l’appel sans qu’on connaisse le bilan de la belle aux tests Euro-NCAP. Visibilité
3/4 arrière gênante
Pour l’heure, les rares griefs vont à la visibilité 3/4 arrière et arrière pas évidente, d’autant plus gênant que les boucliers peints sont particulièrement exposés. Ce défaut saute en partie quand-il s’agit de se garer grâce aux capteurs de recul, mais on ne supporte pas très longtemps l’avertisseur sonore stressant…L’unique niveau d’équipement Performance lié à la motorisation 2.3 litres et au plus puissant des Diesel (l’organisation de la gamme est décidément bien compliquée), se distingue de "l’Elégance Plus" disponible sur le 2 litres essence et sur le Diesel (136 ch) précité principalement par les phares au xénon et le système de navigation GPS par DVD avec télécommande. La sellerie cuir, le siège conducteur à réglages électriques, la climatisation automatique, le régulateur de vitesse ou le système audio (7 HP et chargeur 6 CD) à commandes au volant se retrouvent bien évidemment sur la Performance. Difficile de demander plus. La liste des options se résume à la peinture métallisée (400 €) et au toit ouvrant électrique (750 €).
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