S’il y a un domaine où Audi ne mégote pas, c’est bien dans le domaine de la sécurité avec des ceintures de sécurité trois points, des appuis-tête réactifs, 6 airbags, l’ESP avec un inédit d’essuyage automatique des disques de freins, l’EBV, l’ASR, etc. Rien ne manque.
Du côté des équipements de confort, l’A4 démontre ses limites et on est obligé de piocher dans la longue liste des options pour obtenir une dotation similaire à la concurrence. Seuls, la climatisation automatique bi-zone, la condamnation centralisée, les antibrouillards, les rétroviseurs électriques et les vitres avant et arrière sont de série.
Déjà bien fournie, la liste d’option est aujourd’hui complétée par de nouveaux équipements comme par exemple le système d'éclairage adaptatif au xénon avec fonction diurne qui comprend le "code virage dynamique" ou le nouveau système de navigation Audi plus avec lecteur de DVD.
Une habitabilité réduite
Malgré une longueur de 4,59 m qui a progressé de 38 mm par rapport à la précédente génération, l’A4 offre une habitabilité irrégulière. Si les passagers avant sont installés confortablement grâce aux multiples réglages des sièges, les occupants des places arrière n’ont pas cette chance avec un espace aux jambes inférieur à celui de l’A3 Sportback, un comble sachant que cette dernière mesure 30 cm de moins. Les rangements sont rares. Même réflexion concernant la capacité du coffre qui est très légèrement supérieur à celui de la Sportback (377 contre 370 litres).
Si l’A4 appartient théoriquement à la catégorie des familiales, dans la pratique, on se rend compte que la réalité est différente avec par exemple une Sportback, plus courte mais plus habitable. A méditer
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