Les résultats de la 22e "Cote d'amour des constructeurs", une grande enquête de satisfaction des réseaux par rapport à leurs marques, ont été dévoilés. Volvo poursuit son ascension et prend la première place. À l’inverse, Citroën est bonnet d'âne !
Le groupe automobile français PSA avec à sa tête un Carlos Tavares qui l’a sorti de l’ornière veut s’affirmer comme un constructeur mondial. Il a intégré au sein de sa famille une marque Opel qui l’ancre encore un peu plus sur un continent européen dont il doit pourtant se détacher pour être en phase avec son ambition planétaire. Celle-ci, pour se matérialiser, devra passer par un retour sur un marché américain quitté en 1991. Ce retour est en cours, sous une forme originale qui dévoile une stratégie en phase avec la nouvelle donne dans l’usage automobile.
C’est un indicateur qui inquiète et qui pourrait lier une fois encore le nom automobile à une crise majeure. La voiture, décidément, n’est plus cet objet tant convoité symbole de liberté, d’ascension sociale et de plaisir sans cesse renouveler. Le mariage entre l’homme et la mécanique est en plein divorce entre scandales et autres rappels. Cette fois, c’est du côté de la finance que l’auto pourrait perdre gros. Une menace venue des États-Unis qui s’effondrent toujours dans un grand fracas lorsqu’ils sont lézardés par le choc des « subprimes ».
Une députée souhaite mettre en place un contrôle médical pour les conducteurs de plus de soixante-dix ans, comme c'est déjà le cas dans d'autres pays européens.
La vignette Crit'Air qui est apparue dans un premier temps à Paris, puis, étendue à la France, n'est pas une nouveauté européenne puisque d'autres pays ont un étiquetage similaire. Une député européenne demande justement à la Commission de Bruxelles que soit étudié le cas d'une vignette européenne unique, dans un souci de simplification.
Le radar installé sur les "mobiles-mobiles", ceux qui équipent ces véhicules banalisés qui flashent en roulant, et dont la conduite doit être confiée à des prestataires privés, vient d'être à nouveau certifié. C'est confirmé, le LNE, le laboratoire en charge de vérifier le bon fonctionnement des radars utilisés en France, le juge toujours aussi fiable pour mesurer les vitesses. Mais attention, il le juge fiable "LUI TOUT SEUL" ! Ce que Caradisiac a découvert, c'est que seul l'instrument a été testé, absolument pas l'ensemble du système de contrôle - avec les nouvelles caméras et autres programmes informatiques - qu'il a fallu mettre en place pour que, par exemple, les limitations de vitesse soient renseignées de manière autonome, sans plus aucune assistance humaine, et ainsi rendre possible cette privatisation. Que les nouvelles voitures radar, dans lesquelles ne siégera bientôt plus qu'un seul chauffeur du privé, fonctionnent - ou non - correctement, ça, en fait, personne - en tout cas aucun laboratoire présumé indépendant - ne l'a vérifié.
L'idée d'un péage sur la rocade bordelaise a été évoquée il y a quelques jours. Elle viserait les poids lourds aux heures de pointe pour désengorger cet axe très embouteillé.
Nous apprenions ce matin l'apparition d'une nouvelle taxe pour les véhicules d'occasion de plus de 10 chevaux fiscaux. Les plus taxés seraient ceux qui dépasseraient les 36 CV, et ils sont légion dans le monde de la collection. La fédération française des véhicules d'époque demande d'exclure les voitures de collection de ce système de taxe.
Exclusif. Les contraventions pour non désignation d'un conducteur (NDC) envoyées systématiquement aux entreprises, quand leurs patrons paient spontanément les amendes - soit sans désigner un tiers - après que des véhicules de leur flotte se sont fait flasher, pourraient représenter une sacrée manne. Si l'on s'en tient aux statistiques officielles de ces dernières années, les contraventions qui impliquent des véhicules de société pour lesquels il n'y a pas de retrait de point(s) représentent environ 12 % de l'ensemble des PV radars, soit un peu moins de 2 millions en 2016… Or, les amendes pour NDC s'élèvent pour rappel à 450 euros au minimum. C'est donc plus de 866 millions d'euros qu'elles seraient susceptibles de rapporter à l'État !
Fin de l'aventure pour PGO ?
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La vie d'un artisan automobile n'est pas facile, surtout en ces temps modernes où équipements technologiques et grammes de CO2 comptent. La petite marque PGO, originaire d'Alès, en subit pleinement les dures conséquences.
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