Une fois encore, dans son dernier roman, Michel Houellebecq fait des références à l’automobile qui prouvent son intérêt pour elle.
L'offensive déclenchée par Vladimir Poutine risque d'avoir un impact sur l'industrie automobile et pétrolière française. Et même si le groupe Renault et Total sont plus exposés que réellement menacés, le retentissement de la guerre en Ukraine pourrait avoir de conséquences jusque sur le pouvoir d'achat des particuliers.
En pleine expansion sur un marché très dynamique et de plus en plus concurrentiel, le constructeur américain de voitures électriques Tesla compte doubler sa production de véhicules en Chine avec l’ouverture prochaine d’une seconde Gigafactory. Une nouvelle usine qui permettrait à Tesla d’atteindre la production de plus de 2 millions de véhicules.
Usine « historique » de Smart, le site d’Hambach, en Moselle, accueille maintenant la fabrication de l’étonnant Ineos Grenadier. Première visite.
La France et l'Allemagne militent pour décaler la bascule vers le tout électrique, pour l'instant prévue en 2035.
Renault va étudier la possibilité de se réorganiser en deux pôles, pour séparer les activités liées à l'électrique et celles liées au thermique.
De plus en plus de bornes déployées, une offre qui se diversifie chez les constructeurs, et des utilisateurs séduits : la voiture électrique pousse peu à peu ses pions. Pour autant, de nombreux freins à son développement se dressent encore, à la fois financiers, sociétaux, industriels et tout simplement techniques. Etat des lieux.
La tricherie de VW concernant la pollution réelle de ses modèles TDI aux USA a été un énorme scandale, incitant les législateurs à prendre des mesures drastiques, pour calmer une opinion publique ulcérée. Fini le diesel, place à l’électrification pour réduire les émissions de CO2. Ce à quoi on doit ajouter l’autonomisation de la conduite. Mais les budgets dédiés à ces évolutions empêchent d’améliorer les fondamentaux des voitures.
Malgré la belle embellie économique et la baisse du chômage dans l’hexagone, le déficit commercial français n’a jamais été aussi élevé et a atteint près de 85 milliards d’euros en 2021. L’automobile en prend sa part puisqu’elle représente près de 20 % de cette baisse.
Les loueurs auraient-ils une force de conviction spéciale dans un marché automobile morose à l’échelle française, européenne et mondiale ? Difficile à dire. Toujours est-il que les formules de location recueilleraient visiblement une adhésion croissante. Illustration à travers le bilan d’activité d’Arval.
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