Serait-ce le moment du règlement de compte final chez Volkswagen ? Celui d’une affaire des moteurs diesels sciemment truqués par un logiciel les rendant vertueux au regard des normes antipollution. Un scandale qui a pollué toute la planète automobile, étouffé cette motorisation, poussé à l’électrification des gammes des constructeurs qui se jettent dans les bras chinois qui ont parié depuis longtemps sur les batteries. Mais Volkswagen, de son côté, travaille à apurer ce passif.
Ce n’est pas un retour à la guerre de sécession, mais c’est tout de même un défi lancé à l’administration fédérale et donc, au Président des États-Unis, Donald Trump. Ce dernier veut démanteler la majeure partie du « plan climat » établi par son prédécesseur démocrate, Barack Obama. Une décision qui n’est pas du goût de tout le monde, à commencer par la Californie où le gouverneur, du parti démocrate, s’est lancé dans un combat judiciaire pour maintenir ledit plan. L’État en a même fédéré d’autres…
Le 19 avril dernier nous vous révélions l’émergence de soupçons portant sur un constructeur Subaru qui aurait falsifié sur une longue période et de manière "quotidienne" des données de consommation sur ses véhicules, et notamment sur le Forester. Le ministère japonais des Transports avait demandé récemment une enquête interne à Subaru. Celle-ci a rendu ses conclusions : les faits sont avérés pour 903 véhicules identifiés.
Ils avaient eu l’autorisation de la voisine pour garer leur véhicule dans sa maison. Mais en voulant la récupérer, ils ont découvert une maison vide, garage y compris. La propriétaire venait d’être saisie et tous les bien vendus par l’huissier. Leur voiture aussi. Une histoire qui s’est déroulée au Canada. Et le plus fort, c’est que l’huissier était dans son droit le plus strict…
Son sort était a priori scellé. Puisque, en plus, il avait reconnu les faits. Qui n’avaient rien d’anodin car, pour y mettre un terme, un déploiement conséquent de forces de police et de gendarmerie avait dû être mis en place. Et pourtant, il s’en est bien sorti devant un tribunal qui a constaté son absence. Mais pas que…
Le conducteur était jugé pour outrage. Pour le Procureur de la République, ce geste était par extension destiné aux fonctionnaires du centre de traitement des infractions à Rennes.
La justice a considéré que les entreprises qui proposaient la location de bolides dans les rues de Paris pratiquaient une vente à la sauvette. Trois d'entre elles ont eu une amende et ont eu des véhicules confisqués.
Les faits remontent au 13 juillet 2015, une date qui restera gravée dans la mémoire d’un François Jarrige et peut-être dans l’histoire du modèle Espace V de Renault. Ce dernier point dépendra de la justice, saisie d’une plainte du premier cité à l’encontre du constructeur de la voiture décrite. Celle-ci aurait redémarré toute seule pour s’offrir quelques mètres avec une passagère de huit ans assise à l’arrière. Un fait insolite et, heureusement, aucun blessé à déplorer. Mais une décision judiciaire devra être rendue.
C’est un cas particulier appelant à différentes sensibilités qui s’est traité au tribunal. Il s’agit de deux gendarmes qui doivent rendre des comptes sur un contrôle alcoolémie qui a eu lieu en 2016. Pourquoi ? Parce que l’un d’eux a été dénoncé par l’autre qui avait voulu faire preuve d’indulgence à l’égard d’un contrevenant à la situation sociale fragile. Pour qu’il soit sanctionné sans pour autant perdre son permis de conduire qui était le seul rempart à sa marginalisation définitive du système, le gendarme a minoré le taux avoué par l’appareil de vérification. Une faute professionnelle, incontestablement, une infraction assurément, mais tout de même…
À l’heure où, en France, on se pose la question sur un certain type de consentement pour les plus jeunes âges, chez nos cousins d’outre-Atlantique, on traite en justice les accidents de vélos avec une tête blonde de dix ans au guidon. Et quelle a été la décision du juge ? Réponse ci-dessous…
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