Volkswagen travaille dur pour limiter les dégâts de ses errements à propos d’un logiciel truquer sciemment posé sur ses véhicules diesels pour les rendre vertueux face aux normes antipollution. Une tricherie qui touche 11 millions de ses modèles de par le monde et un scandale qui a abonné le constructeur à la chronique juridique de la planète. Quant au client victime, tout dépend de quel côté de l’Atlantique il est. Aux États-Unis, il est indemnisé, mais en Europe il est ignoré. Peut-être plus pour longtemps, car les Allemands se rebiffent.
Alors qu’en Europe les clients du groupe Volkswagen se retrouvent avec un véhicule au moteur truqué, sans vraiment avoir le choix que de le conserver après une mise aux normes, de l’autre côté de l’Atlantique, le même a droit à des indemnités. L’Amérique fait ainsi payer le prix fort au groupe automobile allemand ses errements. Aux États-Unis, il a déjà provisionné 15 milliards de dollars pour indemniser les propriétaires de 480 000 voitures équipées du moteur 2 litres diesel vicié. Mais voilà que les mécaniques 3 litres sont aussi mises en cause tandis que le Canada présente sa facture.
L’enquête avait débuté au début de cette année, et elle a occupé la police judiciaire de Melun dans la Seine-et-Marne. Partie sur un soupçon de trafic de véhicules volés, elle a aussi mis à jour un système bien huilé de vente de voitures dont la caractéristique était d’avoir leur kilométrage truqué et revu à la baisse. Si vous habitez l'Ile-de-France, notamment la Seine-et-Marne, et que les enseignes Auto Pro 77 ou encore Auto Service Système nous vous sont pas inconnues, alors vous avez du souci à vous faire.
L’automobile connectée, la voiture autonome ou les accessoires qualifiés d’intelligent qui équipent de plus en plus nos engins motorisés suscitent autant la fascination que les fantasmes. Dans la plus pure légende de l’opus Terminator, les machines ne vont-elles pas prendre le pouvoir sur l’homme ? Le moindre fait divers est scruté pour faire pencher la réponse vers l’affirmative. Ainsi cet accident fatal pour un routier en Autriche.
Les forces de l’ordre compétentes peuvent désormais, même en l'absence d'accident de la circulation, d'infraction ou de raisons plausibles de soupçonner un usage de stupéfiants, procéder à des tests de dépistage. De nouvelles opportunités de contrôle qui permettent de faire d’étonnantes découvertes et de battre en brèche quelques idées reçues…
C’est une affaire de fraude au péage d’autoroute qui a été jugée en Bourgogne. Des faits particuliers mettant en lumière une technique qui ne l’est pas moins. Mais si verdict il y a eu, il n’a pas été si sévère au regard du fait d’escroquerie retenu.
La période de Noël s’approche et pour notre sécurité les contrôles routiers vont se multiplier. Afin de nous faire comprendre qu’entre jouir des festivités et conduire, il faut choisir. Mais du côté de Fougerolles, l’opération a déjà commencé au point que de contrôles, il y en aurait même un peu trop. Et pour cause : certains sont effectués par un mystérieux faux gendarme.
Pour cacher leur escapade, le couple volage a tenté un numéro d’équilibriste en inventant un vol de voiture. Mais on ne la fait pas à l‘envers aux enquêteurs qui goûtent peu au voyage en bateau. Mis dos au mur, les tourtereaux n’ont pas relevé le défi et ont découvert que le dévouement avait ses limites. Depuis ils vivent l’expérience de l’union suspendue. Une position, répertoriée parmi cent autres, et pour le coup inconfortable.
Les voitures connectées font peur car des gens mal intentionnés peuvent en prendre le contrôle à distance. Ou déjouer le système de verrouillage pour mieux s’approprier frauduleusement l’automobile objet de leur convoitise. Certes, mais ça marche aussi dans les deux sens. Entendez par là que la technologie peut également confondre les margoulins en flagrant délit. Un voleur de Seattle aux États-Unis l’a appris à ses dépens.
Ce que l’on appelle le « dieselgate » au sujet d’un scandale initié par Volkswagen, qui a utilisé un boîtier truqué viciant les résultats sur les émissions polluantes des modèles de sa gamme, continue à produire ses effets collatéraux. La marque alimente les chroniques judiciaires de la planète et le reste des voitures de son groupe commence à subir les conséquences de la tricherie. Socialement, la facture sera payée par le salarié allemand de l’entreprise. Mais la classe politique aussi est dans le collimateur.
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