Due à l’ingéniosité de sir Alec Issigonis, la célère Mini s’illustra dans maintes épreuves sportives dont le fameux Rallye de Monte-Carlo qu’elle remporta à plusieurs reprises.
Qui s’en souvient ? Alors que la gestation de la 204 se poursuivait, l’Auto-Journal publia un jour un dessin la représentant sous la forme d’un modèle bicorps, semblable à l’Austin 1100.
Qui s’en souvient ? En 1981 GM proposa des moteurs V8 dont le fonctionnement faisait appel à 4, 6 ou 8 cylindres selon le mode de conduite utilisé. Ce fut le cas sur la Cadillac Seville.
Lors de la courte période transitoire qu’a connue la marque Seat entre l’exploitation de sa licence Fiat et son intégration dans le groupe Volkswagen, elle continua à produire des modèles d’inspiration italienne en les modifiant légèrement et les rebaptisant.
Souvenez-vous, lorsque Simca racheta l’usine de Poissy en absorbant Ford SAF, elle trouva la nouvelle gamme Vedette - prête à être commercialisée - dans la corbeille de la mariée.
Qui s’en souvient ? Glas, fabricant allemand de motocyclettes, se lança dans la construction d’automobiles en 1954 avec ses voiturettes vendues sous le nom de Goggomobil.
Topolino, ou petite souris, fut le surnom donnée à la première 500 produite entre les deux guerres mondiales par Fiat.
Simca l’avait fait dès 1954 pour sa gamme Vedette. Renault reprend l’idée en 1955 en proposant une version haut de gamme de sa Frégate, la Grand pavois qui se veut plus luxueuse que l’Amiral.
Qui s’en souvient ? Glas fut rachetée par BMW pour 10 millions de DM et poursuivit quelques mois la production et la diffusion des modèles de la marque.
Pour tenter de concurrencer le succès de la Citroën Méhari, Renault utilisa les services de la société ACL appartenant à Teilhol pour commercialiser la Rodéo 4, modèle des plus rustiques s’ils en étaient.
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