On savait les Honda fiables et capables de traverser les âges sans jamais avouer une ride. Mais ce que l'on savait moins c'est que ces motos étaient déjà connues à l'âge de pierre. Cette CX500 pourrait le faire croire mais elle n'a pas été découverte incidemment par une archéologie depuis en plein doute.
André Lecondé
Lui écrireLa sécurité des voitures de la dernière génération tourne autour de la fiabilité de leur dispositif de connexion. Certains véhicules sont même presque autonomes et c’est encore cette aliénation du conducteur qui cause souci. Mais les bonnes vieilles méthodes pour un vol ne tombent pas pour autant en désuétude.
C’est comme un juste retour des choses. Alors qu’il venait d’être élu et tandis qu’il se préparait à peine à sa prestation de serment pour sa prise de fonction, le désormais président des États-Unis dégainé les sermons. Rappelant les points d’un programme arc bouté sur l’Amérique, il tançait les constructeurs automobiles coupables de délocalisation. Ces derniers ont rapatrié les dollars et promis des usines. Et font aussi leur devoir de mémoire sur la campagne présidentielle en demandant les contreparties.
Heureux sont les ignorants dit-on et dans le cas de l’industrie automobile, on se persuade qu’il en était mieux ainsi avant. Avant quoi ? Le « dieselgate » bien sûr qui a porté un coup à la crédibilité de cet univers jusque-là libre comme l’air. Mais maintenant qu’on les identifie comme des pollueurs, l’atmosphère a changé. Volkswagen a lui seul a ébranlé un édifice que l’on croirait reposer sur du sable. Le spleen gagne des dirigeants qui intéressent la justice. Le patron du groupe Fiat Chrysler a même le moral à zéro.
Seat fait une pierre deux coups dans le monde du sport moto. Après avoir pris une place sur le carénage de la Ducati Desmosedici de Grand Prix à la faveur de l'arrivée de Jorge Lorenzo, le constructeur automobile membre de la famille Volkswagen prend la fonction de voiture officielle du Superbike.
C'est comme un retour de l'histoire ou une nouvelle ironie du sort. Le feu tricolore avait été inventé dans la bonne ville de Londres en 1868 pour protéger les piétons de la circulation automobile naissante. A présent plus que dense, c'est pour les protéger ce celle-ci que de plus en plus de villes enlèvent cette signalisation lumineuse qui n'aidait pas à la fluidité du trafic.
La sécurité routière va dévoiler cette semaine une nouvelle campagne de sensibilisation. Une approche différente des messages précédemment distillés même s'il reste dans la philosophie d'un tous responsables prenant en compte l'onde de choc provoqué chez tant de vie la perte d'un être proche dans un accident mortel.
Les simulateurs de pilotage ont beaucoup évolué ces dernières années jusqu'à véritablement correspondre à leur vocation de retranscrire la réalité pour mieux s'aguerrir à ses impératifs. Une révolution technique et ludique qui a surtout bénéficié aux passionnés du sport-automobile.
Le « faites ce que je dis mais pas ce que je fais » est un concept que l’État ne voudrait pas voir décliner à ses administrations dans le domaine de la sécurité routière. Nos agents du fisc, d’une efficacité redoutable pour ce qui est de leur domaine de compétence, ne seront pas ceux à qui on reprochera un arrièré de comportent ou un redressement de la vitesse une fois derrière un volant. Et pour cause : le ministère de l’Économie et des Finances vient très officiellement de s’engager dans une action exemplaire en faveur de la sécurité routière.
Le parfum du scandale du dieselgate commence à envelopper les hauts dirigeants de Volkswagen qui se voient contraints de s’expliquer devant la justice et autres commissions d’enquête. Il en est une en Allemagne qui tente de faire son office et elle est d’ordre parlementaire. Pour travailler, elle doit procéder à des auditions. Or on apprend que l'ex-président du directoire puis du conseil de surveillance de Volkswagen Ferdinand Piëch refuse de s'exprimer devant elle.