C'est l'auto de l'année pour Ford en Europe. Pourtant, alors qu'elle est prête à être dévoilée, la Ford Focus fait l'impasse sur le salon de Genève. Le président du groupe en France nous explique les raisons de cette absence.
Michel Holtz
Lui écrireLe groupe espagnol a décidé de créer une nouvelle marque sportive en séparant ses modèles Cupra du reste de sa gamme. D’autres, pour des raisons différentes, ont été tentés par le séparatisme, de Citroën à Volvo en passant par Toyota. En fait, Seat tente de rejouer la même pièce que celle que Fiat a interprétée avec Abarth. Mais les temps ont changé.
Mondial de l’auto 2018 : une affiche qui fait hurler les irréductibles pour mieux séduire les autres
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Critiquée sur les réseaux sociaux dès sa parution, l’affiche du prochain Mondial de l’automobile déplaît aux puristes de l’auto. Sauf qu’elle n’est s’adresse pas à eux, qui de toute manière ne rateraient l’événement pour rien au monde. Elle cible tous ceux qui ont parfois oublié la route qui mène à la Porte de Versailles, à Paris.
Taxi 5 ou Fast & Furious 8 sont loin d’être des chefs-d’œuvre. Encore une rencontre ratée entre l'automobile et le cinéma. Depuis les débuts de la voiture, qui a grandi en même temps que le 7e art, ces deux-là se sont frôlés, côtoyés, sans jamais vraiment s’apprécier ou même s’apprivoiser.
Cette édition, plus qu’aucune autre, a vu le show américain se transformer en un salon de moins en moins international et de plus en plus dédié aux conducteurs américains. Les pick-up et gros SUV sont à l’honneur alors que les nouveautés destinées aux marchés étrangers, et notamment à l’Europe, n’occupent plus qu’une portion congrue. Pour mieux comprendre ce curieux marché, une petite visite avec un expert de l’auto US s’impose. Bertrand Rakoto est un analyste indépendant qui vit et travaille à Detroit. Suivez le guide.
La marque milanaise revient de loin, mais 2017 signe son renouveau avec une hausse des ventes de 62 %. Mais ce n'est pas suffisant pour son PDG, tiraillé par ses créanciers. D'autant qu'en parallèle, Maserati touche le fond et stoppe momentanément sa production. Chronique d'un succès un peu amer.
Souvent les passionnés d’automobile sont en mode « tout fout l’camp », regrettant notamment les temps d’avant. La fermeture du showroom Citroën des Champs-Élysées devrait redonner du grain à moudre au club de nostalgiques des promenades dominicales parisiennes. Des réfractaires au changement certes, mais aussi des passionnés qui prouvent que l’auto n’est pas (encore) un objet comme les autres.
Dix mois après le deal entre Carlos Tavarès et Mary Barra scellant l’accord de vente d’Opel par PSA pour 1,3 milliard d’euros, PSA fait volte-face et réclame un rabais de près de la moitié de la somme. Le prétexte : un vide sidéral au programme en matière de baisse de C02 de la gamme de l’allemand. Une lacune pourtant connue. En cause surtout : un blocage de la fabrication de l’Opel Ampera-e qui pourrait être un bon motif pour obtenir une ristourne.
La marque accumule les pertes, les problèmes sociaux et les retards de livraison. Ce qui n’empêche pas son patron de présenter deux nouveaux modèles qui renvoient tout ce qui roule à la préhistoire automobile. Elon Musk est-il le plus grand illusionniste de l’industrie mondiale ?
Comme chaque année, livrons-nous au jeu des pronostics en révélant, avec quatre mois d’avance, le nom de la voiture de l’année. Et en 2018, le vainqueur sera le Citroën C3 Aircross. Pour gagner, il devra éliminer 47 autres engagés. Une lourde tâche que le petit SUV français peut mener à bien.