Au début des années 80, Peugeot a imaginé se relancer en rallye avec une 305 hypertrophiée, la brave berline étant alors son grand succès. Mais le projet n’a pas abouti…
Stéphane Schlesinger
Lui écrireDotée d’un monstrueux V8 suralimenté (564 ch !) issu de la Corvette ZR-1, cette Cadillac est une authentique sportive capable de performances balistiques. Poussant le vice jusqu’à se doter d’une boîte manuelle, elle demeure très rare sur le marché européen. Une pièce de choix !
Quand les généralistes s’essaient au prestige, cela donne les Renault Vel Satis V6 3.5 et Volkswagen Phaeton V6 3.2. Bizarrerie novatrice d’un côté, classicisme extrême de l’autre, chacune adopte une stratégie qui lui est propre… Sans succès. Restent deux excellentes autos de luxe à prix dérisoire.
En 1984, Seat se relançait miraculeusement grâce à l’Ibiza, une appellation que la marque espagnole a conservée depuis. Si la citadine demeure un best-seller pour le blason ibérique, on se demande toutefois quel est son avenir.
Ligne sublime, mécanique on ne peut plus noble, luxe omniprésent, performances record, la Jaguar XJ12 (ainsi que sa soeur encore plus chic Daimler Double Six) a tout pour elle. Sauf la fiabilité. Certes, c’est un poil ennuyeux mais ça se résout, aussi les raisons de craquer sont-elles diablement nombreuses…
Dans l’ombre de l’OPC mais tout de même forte de 150 ch, la Corsa GSI présente un très séduisant rapport performances/agrément/prix. Sortir des sentiers battus permet de réaliser de bonnes affaires !
On se dit qu’avec la plus grosse batterie disponible dans sa gamme (60 kWh), la Renault Mégane ne grèverait pas énormément le temps de trajet (590 km) en recharges. Mais le froid, les pneus hiver, l’allure autoroutière et les problèmes de bornes allaient en décider autrement…
En 1954, la grande Citroën lève une partie du voile sur la fameuse suspension associant liquide et azote qui fera tant pour le succès de la DS, notamment.
Unique petite sportive à essence produite par Skoda, la Fabia RS étonne par sa fiche technique : double suralimentation, injection directe boîte DSG7. Elle est toutefois restée dans l’ombre, ce qui n’enlève rien à ses qualités et surtout en fait une petiteb bombe bien rare qu'il faut commence à mettre de côté.
Petits gabarits, moteurs punchys, prix rikikis, ces deux minis offrent bien du plaisir, et sont en passe de devenir des collectors. Des citadines vives et légères comme celles-ci, on n’en fait plus !