Dans son plan de soutien à l’industrie automobile, le gouvernement présente quelques mesures temporaires (bonus et prime à la conversion en hausse) destinées selon lui à accélérer la transition écologique au sein des flottes d’entreprises. Gros plan sur ces annonces et sur leur capacité éventuelle à booster les commandes de véhicules propres.
Louis-cyril Tharaux
Lui écrireDepuis la levée du confinement lié à l’épidémie de Covid-19, les Français sont nombreux à délaisser, du moins temporairement, les transports en commun mais aussi l’autopartage et le covoiturage pour leur retour au travail. Au profit notamment des trajets à vélo, qui connaissent un engouement assez inédit. Coup d’œil sur le phénomène et sur ses avantages, selon le mode de détention choisi.
Depuis le début de l’épidémie de Covid-19, et surtout depuis l’annonce du déconfinement, le marché de la désinfection de véhicules professionnels a connu un plein essor en France. La demande est forte. Objectif des entreprises clientes : que leurs collaborateurs puissent reprendre le volant en toute sécurité.
Le confinement a contraint la majorité des flottes à un arrêt forcé. Pour les accompagner, les loueurs et assureurs, mais aussi les organismes représentant le secteur automobile, ainsi que l’État, ont mis en place ou proposé des mesures de soutien spécifiques destinées à pallier les effets du confinement sur l’activité et à mieux appréhender la reprise. Éclairage sur quelques-unes de ces démarches.
Permettre aux soignants d’être mobiles en toutes circonstances durant la crise, c’est l’un des engagements solidaires pris depuis un mois par les entreprises du secteur automobile, de même que par la plupart des collectivités régionales. Regard sur quelques-unes des actions menées.
Le début 2020, avec pour toile de fond la crise sanitaire liée au Covid-19, semble avoir donné bien involontairement un coup de projecteur mondial sur la conduite sans chauffeur. De la Chine aux États-Unis en passant par la France, nous vous proposons un tour d’horizon de quelques-unes des initiatives actuellement menées sur le champ du véhicule autonome, aussi bien au service de collectivités et d’établissements publics que d’entreprises.
Sans grande surprise, le confinement ordonné à la mi-mars dans le contexte épidémiologique du Covid-19 a sérieusement détérioré le bilan des ventes automobiles en France au premier trimestre. Le segment des véhicules destinés aux entreprises, aux administrations et aux loueurs longue durée, qui avait déjà éprouvé des difficultés en janvier, a dû de nouveau courber l’échine, cette fois face à une crise économique d’ampleur.
Les parcs professionnels semblent résolus à activer leur transition énergétique en optant davantage pour des modèles hybrides ou 100 % électriques. C’est du moins ce qui ressort du bilan des immatriculations en janvier et février. Une tendance qui, malgré l’incertitude occasionnée par l’épidémie de coronavirus, devrait se confirmer lors de la reprise de l’activité économique. Illustration et décryptage.
Le budget flotte constitue le deuxième poste de dépenses pour la plupart des entreprises. Dans ce contexte, la commande d’un audit représente généralement pour elles une opportunité stratégique de s’interroger sur le coût global de leur parc automobile, sur la façon dont elles le gèrent et sur leurs besoins réels, afin de mettre en œuvre un plan d’économies efficace et personnalisé.
Le 5 mars prochain s’ouvrira la 90e édition du Salon de Genève, premier rendez-vous automobile international de l’année. Parmi les modèles attendus, plusieurs devraient séduire les flottes grâce à des motorisations en phase avec les réglementations environnementales. Illustration à travers quelques exemples, de la Renault Mégane 4 à la Kia Sorento, en passant par les Toyota Mirai, Renault Twingo ZE et Volkswagen Golf 8.