2. Opel Grandland (2021) - Sur la route : un bon compromis
Aucun changement en revanche sous le capot. Le Grandland sera toujours accessible en essence, en diesel et en hybride rechargeable avec des niveaux de puissance allant de 130 à 300 ch. En thermique "pur", le 3 cylindres suralimenté de 130 ch se chargera d’assurer l’offre essence alors que le 4 cylindres 1.5 diesel de 130 ch contentera les amateurs de diesel. Notez que ce dernier est désormais couplé d'office à la boîte automatique 8 rapports, en option sur le 1.2 essence (1 900 €). La double offre hybride rechargeable, avec 225 ch en traction et 300 ch en quatre roues motrices viendra coiffer l’offre du constructeur.
Le Grandland ne change rien du côté des motorisations et du châssis et c’est tant mieux car il n’en avait pas besoin. L’unique version diesel, présente au catalogue, est à ce jour la motorisation la vendue en France. Sans être un foudre de guerre, le BlueHdi 130 se montre amplement suffisant pour répondre à toutes les situations du quotidien. Les accélérations sont correctes et les reprises sont bien gérées par la très bonne boîte automatique à 8 rapports, livrée d’office. Cette dernière est assurément un renfort pour l’agrément de conduite. De plus, le 4 cylindres développé par PSA se montre sobre. Nous avons relevé une moyenne de 5,8 l/100 km durant notre essai réalisé sur un parcours mixte. Rejetant 132 g de CO2/km, il est enfin neutre au malus écologique.
La tenue de route, elle est typique des productions Stellantis. Autrement dit, offrant un bon rapport entre confort et dynamisme. La sensation de mordant du train avant est moins prononcée qu’au volant du 3008, principalement en raison du diamètre de volant plus important. Il est donc un poil moins incisif que son cousin mais se place dans la moyenne supérieure des SUV compacts du marché. Le Grandland reste facile à prendre en main, rassurant et confortable.
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