Pour nombre d'entre nous, une forme de patriotisme économique suppose de rouler dans une voiture française. Seulement voilà, cette notion est bien plus complexe qu'il n'y paraît...et semble même assez secondaire aux yeux de certains constructeurs.
D'après une étude, le déclin du diesel et l’essor des SUV ont entraîné une hausse des émissions de CO2 des voitures vendues en Europe l'an dernier. Et le phénomène semble durable.
La Suède compte de nombreuses mines qui sont fermées depuis des décennies, la faute à l'abandon progressif de certains minéreux et métaux au profit de produits synthétiques. Mais avec la progression (annoncée, mais pas encore effective) des véhicules électriques, ces mines retrouvent de l'intérêt. Un site va justement être rouvert en Suède pour répondre à la demande en graphite.
À partir du 1er avril, toutes les nouvelles voitures homologuées en Europe seront équipées de l'eCall, un appel d'urgence qui va permettre de faire intervenir les secours et dépanneurs plus rapidement en cas d'accident.
Contrairement aux véhicules particuliers où les marques françaises se font parfois nettement devancer par la concurrence, chez les utilitaires légers, Renault, Peugeot et Citroën font la loi en Europe. Et si l'on ajoute les plateformes partagées, l'on peut alors affirmer que les Français tiennent plus de la moitié du marché européen.
Une nouvelle étude montre que le dernier cycle européen d'homologation, qui contient désormais une partie en test sur route, ferait grimper en moyenne les grammages CO2 de l'ordre de 25 % sur les véhicules neufs. Ceci est synonyme, en France, de forte inflation des malus sur certaines autos.
Carlos Tavares a récemment pris le poste de directeur de l'ACEA, l'association des constructeurs européens d'automobiles. Le patron de PSA en profite pour solliciter les Etats européens et leur demander de faire en sorte que les infrastructures de recharge pour les voitures électriques soient suffisantes.
La position de Fiat est délicate en Europe depuis quelques années. Le manque de renouvellements et de nouveautés affecte forcément le constructeur qui s'en sort malgré tout pas trop mal grâce à la famille 500. Une famille qui pourrait justement se retrouver toute seule au catalogue sur le Vieux Continent.
C’est comme si une logique de guerre commerciale s’était enclenchée entre les États-Unis et certains pays du reste du monde. Dont ceux de l’Union Européenne. Une escalade qui trouve sa source le 1er mars, date à laquelle le président Donald Trump a annoncé des taxes de 25 % sur les importations d'acier et de 10 % sur celles d'aluminium pour défendre ces industries qu'il estime être stratégiques pour son pays.
L’Union européenne s’inquiète du phénomène de contrefaçon de pneus et de ses conséquences économiques, auxquelles s’ajoutent d’évidents problèmes de sécurité routière.