Bien que mis sur la sellette à cause de leur façon d’appréhender les tests d’homologation portant sur les normes antipollution, les constructeurs automobiles européens ont demandé un report de l’entrée en vigueur de la réglementation portant sur les limites d’émissions de polluants en conditions réelles de conduite. Une démarche faite auprès de la Commission européenne vent debout contre cette industrie qu’elle voudrait mettre au pas. La réponse n’a donc pas été surprenante.
C’est une décision de la Commission européenne inattendue qui a provoqué l’ire de tout un secteur de la profession agricole. Celui-ci est lié à la cause de la propulsion mécanique et donc de l’automobile puisqu’il met du carburant dans les réservoirs. C’est pour ça qu’on l’appelle biocarburant. Sa part dans les transports était promise à 7 % en 2020. Une perspective qui s’éloigne avec cette volonté politique affichée de freiner le recours aux agro carburants d'ici 2030.
Pour la première fois de son histoire, le coréen va vendre plus de 400 000 voitures sur le Vieux Continent en une année. Kia est boosté par les succès des Sportage, Niro et Optima break.
Entre les intentions et les actes, il y a parfois un delta qui jette comme un écran de fumée sur la réalité des choses. Ainsi, il n’est pas un gouvernement qui ne déplore le scandale des émissions polluantes rejetées par les véhicules proposés à des concitoyens achetant de bonne foi des modèles qui dépassent en réalité les normes imposées. Mais les mêmes réunis au sein de l’Europe refuse de sanctionner une industrie automobile qui est aussi un pilier économique et social. La Commission européenne vient de s’en rendre compte.
Des engagements internationaux en faveur d’un climat à préserver poussant à une baisse de sa consommation… Un prix de son baril orienté à la baisse trahissant une offre plus grande que la demande… On pourrait penser au vu de ces données qu’il n’y a pas à se mettre dans le rouge lorsque l’on s’interroge sur la pérennité de l’or noir. Et pourtant, dans 25 ans, on pourrait bien rire jaune.
On appelait jusque-là cette affaire le dieselgate par la faute d’un constructeur Volkswagen qui avait jeté sans scrupules un écran de fumée sur ses émissions polluantes. 11 millions de ses voitures de la gamme carburant au mazout avaient mis à l’index de par le monde. Un moment d’égarement au coût de plus de 15 milliards de dollars d’après les experts. Des quoi être ébranlé. Mais ce n’est pas fini.
Le pari semblait osé : l'image des monospaces ne colle pas vraiment avec celle de BMW et les ventes de la catégorie ne cessent de décliner en Europe depuis plusieurs années. Mais les Série 2 Active Tourer et Gran Tourer séduisent !
À en croire l'ONG belge Transport et Environnement, les constructeurs automobiles ne manqueraient pas d’air. Ainsi, après l’avoir pollué avec leurs moteurs diesels truqués, ils nous donneraient de fausses informations sur la pression de nos pneumatiques. Encore une fois, c’est une Europe gonflée de bonnes intentions mais à plat en termes d’application de ses règlements qui crève l’écran.
Le 18 septembre 2015, le scandale Volkswagen éclatait aux Etats-Unis, générant une onde de choc qui allait se propager au monde entier. Un an après, Caradisiac s’intéresse aux conséquences de l’affaire pour les automobilistes français. Notre sondage exclusif Harris Interactive montre notamment que le scandale incite aujourd’hui 36 % d'entre eux à se détourner des motorisations diesels. Une tendance qui ne manquera pas d'inquiéter les constructeurs tricolores, spécialistes de cette technologie.
Outre leur constructeur et/ou pays d’origine, les Renault Clio, Zoé, Captur et Citroën C4 Picasso ont un point commun : elles sont n°1 des ventes en Europe dans leur catégories respectives. Et d’autres modèles tricolores s’exportent eux aussi très bien, merci pour eux. Par contre, les affaires se compliquent dans les segments plus haut de gamme.