Plusieurs grands industriels et constructeurs ont décidé de s'associer et d'officialiser la chose lors du sommet économique de Davos. Le but ? Favoriser le développement de l'hydrogène, qui n'avance guère ces dernières années. Le manque d'infrastructures et de véhicules est aujourd'hui toujours aussi important.
La berline à hydrogène de seconde génération de chez Honda arrive officiellement en Europe. Comme pour la Toyota Mirai, les volumes de ventes resteront malgré tout faible, toujours à cause du coût et de la faiblesse du réseau de pompes à hydrogène. La France n'est d'ailleurs pas un marché concerné par la commercialisation de cette auto.
Toyota fait office de précurseur dans le monde de l'hydrogène avec la première auto qui a su trouver plusieurs milliers de clients : la Mirai. Son tarif reste malgré tout prohibitif et les pompes à hydrogènes rares. Pour capitaliser un peu plus sur la pile à combustible, Lexus, la division premium de Toyota, va lancer une prochaine génération de grande berline LS à hydrogène.
La Californie est régulièrement citée pour ses prises de position avant-gardistes vis à vis de la mobilité écologique avec les premières autos à hydrogène qui ont roulé sur cet Etat ensoleillé, mais cette fois, c'est Paris qui tient la vedette. Hyundai va en effet fournir 60 SUV à pile à combustible supplémentaire à la flotte déjà existante. Toujours bien maigre, mais c'est un bon début.
La berline à pile à combustible de Toyota arrive dans l'Hexagone… ou presque. La Mirai n'est pas encore dans les concessions du constructeur japonais. Le premier exemplaire immatriculé en France a été livré à l'entreprise Air Liquide, spécialiste des gaz pour l'industrie et la santé.
Mercedes avait prévenu il y a quelques mois : un modèle à hydrogène verrait le jour rapidement. Mercedes ne nous a pas menti et dévoile aujourd'hui un prototype de GLC hydrogène qui, à la différence d'une Toyota Mirai, n'est pas un hydrogène à 100 % mais un hybride entre hydrogène et électrique. Explications.
Vous l'avez sans doute remarqué, c'était ce week end le Grand Prix de Formule 1 à Monaco, lieu de réunion des stars en tout genre, des milliardaires, des yachts et des belles autos, mais pas que. Le Prince Albert II a en effet "ouvert" la voie aux monoplaces non pas à bord d'une super sportive mais d'une Toyota Mirai. Un contraste plutôt saisissant.
C’est comme un symbole. Alors que l’élection traditionnelle de la voiture de l’année a consacré une Opel Astra trop bien sous tout rapport, celle plus récente de la voiture verte mondiale de la même année nous installe déjà dans le futur. Pour l’instant encore en devenir et confidentielle sur les marchés, c’est pourtant à la Toyota Mirai qu’a été remis le sceptre. Un événement où le constructeur Japonais a par ailleurs brillé.
Hyundai a été l'un des premiers constructeurs à commercialiser un SUV hydrogène, et la marque coréenne compte bien remettre le couvert l'an prochain avec l'arrivée d'un nouveau véhicule à pile à combustible. Hyundai espère d'ailleurs en vendre entre 10 000 et 15 000 sur quatre années de carrière.
L'hydrogène n'est pas une technologie totalement inconnue à Hyundai puisque le coréen a déjà commercialisé en petite quantité le ix35 Fuel Cell. Hyundai annonce cependant vouloir aller plus loin en développant un SUV hydrogène en partant cette fois d'une feuille blanche.
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