
Depuis que les primes à la casse sont apparues, c’est toujours la même désolation que constatent les amoureux de l’automobile. Un genre humain qui voit la voiture comme autre chose qu’un outil polluant qui peut aussi se transformer en vache à lait une fois lancée sur une route, où elle est chassée pour en tirer des PV. Ces gens-là considèrent en effet l’automobile comme un concentré d’émotions symbole d’une époque qu’il faut préserver. Mais ces gardiens vont encore hurler lorsque la prime Hulot va s’appliquer. Et envoyer, par la même occasion, une gamme à la casse, de fait promise à l’oubli.