Rappelez-vous : un tribunal de Rome avait émis il y a quelques jours une ordonnance interdisant à compter du 17 avril les services d'Uber pour "concurrence déloyale". De quoi réjouir les chauffeurs de taxi traditionnels qui voyaient là l’épilogue heureux pour leurs intérêts d’une procédure lancée en 2015. Qui plus est, Le jugement était assorti d'une astreinte de 10 000 euros par jour de retard à compter du 10e jour suivant sa publication. Une victoire sans appel ? Que nenni. Il y a eu appel. Et Uber a gagné le match retour.
Régler le problème d’Uber dans le métier du transport de la personne, ça ne semble finalement pas si compliqué. Le Danemark a récemment mis en place un dispositif réglementaire suffisamment contraignant dans l’équipement des véhicules servant à la profession pour pousser Uber vers la sortie du pays. En Italie, on fait mieux : on raccompagne carrément Uber à la frontière. La justice transalpine a déclaré illégale la firme californienne.
Une société de VTC a mis en place une flotte de voitures inspirée du film, dont le prochain épisode sort dans quelques jours. Vous pourrez ainsi aller au cinéma en Corvette, Mustang ou Challenger !
L'entreprise a dressé la liste des effets personnels le plus souvent oubliés dans ses VTC. Elle a aussi fait un inventaire des objets abandonnés les plus étonnants.
Les nouveaux services connectés, comme les applications de covoiturage ou les VTC réservés depuis le smartphone, modifient le rapport à l'automobile dans les zones urbaines.
La société spécialisée dans les VTC va se retirer du marché danois mi-avril suite au vote d'une nouvelle règlementation en faveur des taxis.
C’est une nouvelle étonnante mais pleine de pragmatisme qui nous vient de l’icône automobile Porsche. Un nom qui a une réputation, une renommée qui va lui permettre de traverser les âges, à condition de prévenir plutôt que de guérir. Mais de quel mal ? Celui d’un monde qui change de valeurs et de paramètres. Porsche le dit ouvertement : il faut anticiper la baisse des ventes de voitures au cours des années à venir.
Comment faire son beurre chez Saint Uber ? La situation crème du secteur des véhicules de transport avec chauffeurs est allée de mal en pis en France où ses servants se sont considérés comme des vaches à lait. Ils ont découvert la globalité de la différence qui existe entre les taxis et eux. Le conflit social est en course et il peut s’avérer assez violent. Où en est-on ? Voici un dernier point de situation.
Le spécialiste des véhicules de transport sans chauffeur Uber a réussi un joli coup en se mettant dans la poche le groupe Daimer-Benz. Ce dernier lui fournira des voitures pour son activité dans un futur proche. Mais les chauffeurs de la plate-forme américaine n’ont pas à se réjouir de cette nouvelle. Ils ne rouleront pas en Classe S pour autant et, même, ils risquent de ne plus rouler du tout. Puisque l’accord porte sur la mise à disposition de voitures autonomes.
Le médiateur en charge de réchauffer un peu les relations entre chauffeurs VTC et plateformes a publié un rapport dans lequel il explique que l'estimation du revenu d'un VTC de 1700 € net est "correcte", ce qui n'est pas si mal... mais il faut pour cela faire au minimum 60 heures par semaine, la faute aux charges, frais et paiement de la plateforme.