La firme d'Ingolstadt a mis à disposition des acteurs du Festival international du film de Berlin une Audi A8 version longue équipée d'une technologie de conduite autonome. La tricorps effectuait des trajets de l'hôtel des stars vers le tapis rouge.
Dans une automobile de plus en plus connectée qui roule doucement mais sûrement vers son autonomie, les enjeux de demain se situent moins dans les parties mécaniques que dans la sphère électronique. L’occasion d’ouvrir de nouvelles voies de développement naguère laissées pour compte. Comme, bientôt, on nous promet que l’on n’aura plus rien à faire une fois embarqué dans sa voiture intelligente, il s’agit de penser à notre confort. Voire même à notre bien-être. Une idée que Renault envisage de pousser jusqu’au paroxysme.
La connectivité prend une part de plus en plus importante dans l'automobile, à tel point que la frontière entre la voiture et la technologie devient de plus en plus infime. Selon une étude récente, quelque 420 millions de véhicules connectés pourraient être en circulation dès 2020 sur le globe. Cela pose évidemment le problème de la sécurité des données.
L’automobiliste d’aujourd’hui veut que sa voiture soit connectée. Et demain, il confiera volontiers le volant à sa voiture en voie d’être autonome. Une tendance et un goût prononcé qui dépassent les aspirations d’antan abreuvées par une fiche technique à la puissance, à la courbe de couple et à la vitesse de pointe jadis soulignés en caractère gras. On en n’est déjà plus là. Certes, mais les puces savantes ne se dressent pas comme ça. On peut même les corrompre pour accomplir les choses les plus inavouables. Une récente vidéo de gens mal intentionnés l’a démontré. Une conjoncture, un choc des cultures qui inquiète la Gendarmerie Nationale. A tel point qu’en 2015, elle a créé l’Observatoire central des systèmes de transports intelligents (OCSTI). Objectif ? Sensibiliser les constructeurs et équipementiers automobiles aux dangers d’intrusion dans leur technologie embarquée.
Audi modifie son calendrier. La firme aux anneaux met les bouchées doubles sur les véhicules électriques et à hydrogène au point de décaler la présentation du crossover Q4. Le but de la manœuvre : refermer les plaies du scandale des diesels du groupe Volkswagen.
La vie réserve parfois des moments cruels. Du genre, vous avez les moyens de rouler en grosse Tesla mais vous n’avez qu’un petit garage. Comment faire pour sortir du carrosse électrique une fois dans celui-ci ? Elon Musk, le patron de la marque a pensé à vous et vous a concocté un système appelé « summon » qui serait presque le summum du luxe. Et puis, tant qu’à faire, il a aussi amélioré le pilotage automatique de ses modèles. Une étape de plus vers l’objectif qui est un véhicule totalement autonome d’ici deux ans.
Le progrès est impitoyable. La course à la voiture autonome augmente son rythme à ce point qu’elle pourrait frapper d’amnésie une nouvelle génération d’automobilistes. Ainsi, lorsqu’on leur demandera de regarder l’Histoire dans le rétroviseur pour comprendre comment leurs ainés faisaient avec un volant et des pédales, ils en seront incapables. Car de rétroviseurs, ils n’en auront plus !
Volvo essaie d'innover un maximum sur tout ce qui tourne autour de l'automobile, et après la livraison directement au coffre de son auto, la marque scandinave présente la communication avec son auto par une montre connectée, grâce à un partenariat avec Microsoft.
La firme d'outre-Manche vient de mettre en ligne une image d'un véhicule de développement pour annoncer ses travaux sur une plateforme exploitant massivement un matériau léger : l'aluminium. Plusieurs modèles de Rolls Royce -dont le SUV à venir- en profiteront.
Le département chargé des études sur les voitures autonomes chez Kia porte un nom : Drive Wise.
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