
C’est ce que l’on pourrait appeler une révolution de palais qui s’est déroulée au sein du capital du groupe automobile français PSA. Ce dernier, mal en point en 2014, avait demandé de l’aide à l’État et ouvert ses portes au constructeur chinois Dongfeng pour continuer à subsister. Une époque aussi marquée par l’installation de Carlos Tavares aux commandes. Nous sommes en 2017 et le lion a retrouvé de sa superbe. L’État récupère donc ses billes. Mais ne quitte pas la partie pour autant.