Cet automobiliste breton avait été contrôlé en début d'année avec une alcoolémie qui dépassait largement le taux délictuel. Il a écrit aux forces de l'ordre pour les remercier de lui avoir fait prendre conscience des méfaits de la boisson.
Il y a des automobilistes qui se servent de leur téléphone comme GPS. En voici un, très éméché, qui a utilisé la lampe de son mobile pour pallier l'absence de phares sur son véhicule accidenté.
Au Havre, le conducteur d'une voiture a été arrêté avec un gros taux d'alcool dans le sang. Jusque-là, rien d'extraordinaire. Mais la police a par la suite retrouvé sur la route le même véhicule, avec un autre pilote tout aussi éméché.
Voilà une idée qui pourrait vous réconcilier avec le rite de l’apéro. Une célébration logiquement en perte de vitesse du fait que, plus que jamais, entre boire ou conduire, il faut choisir. Mais si avec le breuvage vous croquer des chips venues d’une certaine enseigne, vous n’aurez plus à vous inquiéter de votre taux d’alcool dans le sang. Et s’il dépasse le taux légal, il y aurait même un VTC à la porte pour vous ramener chez vous. Explications.
Décidément, ces derniers temps, la communication de la Sécurité routière fait parler d’elle. Après la sortie de route d’un attentat de Berlin dont elle s’est voulue candidement solidaire jusqu’à oublier son slogan mal à propos au vu des circonstances, voici une campagne #OsezDireNon lors du Réveillon du premier de l’an qui tourne à la guerre picrocholine entre animateurs parisiens. Au centre du ring Enora Malagré.
Neuf Français sur dix consommeront de l’alcool dans la nuit du 31 décembre, et la moitié d’entre eux sera concernée par la problématique de la conduite (pour soi-même ou son entourage). Des associations de sécurité routière nous alertent donc sur la nécessité de s'organiser pour limiter les risques.
Avoir le réflexe de glisser dans sa boîte à gants un éthylotest est une bonne initiative. Mais une enquête montre qu'il ne faut pas toujours se fier à leurs indications. La prudence et plus encore le bon sens des conducteurs restent donc de mise.
La dernière étude menée par les associations Prévention routière et Attitude Prévention est alarmante. Selon elle, ce sont près d'un Français sur 3 qui avoue avoir roulé en étant alcoolisé. Pas rassurant… Mais rouler enrhumé serait pire !
Les conducteurs qui ont vu leur permis annulé ou suspendu pour cause d'alcoolémie vont pouvoir le récupérer sous certaines conditions, dont l'installation d'un dispositif empêchant la voiture de démarrer s'ils ont trop bu.
Les pouvoirs publics s’attaquent au problème de la conduite sous stupéfiants. Dès le début de l’année prochaine, des tests salivaires vont être distribués à grande échelle aux forces de l’ordre.