Luca de Meo, président de l'Association européenne des constructeurs automobiles, assure qu'il n'y aura pas de retour possible sur l'électrique.
Luca de Meo, le patron du groupe Renault, demande plus de synergies et d’efficacité dans la collaboration entre les équipes françaises et anglaises de l’écurie Alpine F1. Et il veut des résultats.
Renault affiche des résultats pour le moins encourageants au premier semestre, dans un contexte qui reste inquiétant pour toute l'industrie automobile.
Le patron de Renault veut s’inspirer des kei-cars japonaises pour arriver à proposer une voiture électrique la moins chère possible.
Après Renault il y a quelques jours, c'est au tour du groupe Stellantis d'annoncer de bons résultats au premier trimestre.
Renault commence à délivrer quelques éléments sur la genèse de la R5, sa citadine électrique dont le lancement interviendra en 2024. Au programme: compacité, train arrière multibras, direction précise et module de batteries allégé. La marque nous promet ainsi une voiture plaisante à conduire et à des prix inférieurs à ceux de la concurrence.
Le patron de Renault Luca de Meo a augmenté sa rémunération de 35% en 2022, mais il reste loin de Carlos Tavares. Il a gagné 3,2 millions d’euros l’année dernière en salaire.
Le patron de Renault (et de l’ACEA) fait tout son possible pour convaincre les instances européennes d’aider les constructeurs automobiles à développer l’électrique, comme le font les Etats-Unis et la Chine.
La marque « Entry » de Renault s’embourgeoise avec des prix en hausse continue et de nouvelles finitions à boutons dorés. Et cela alors que le cœur de sa clientèle subit de plein fouet l’inflation des prix de l’alimentation et de l’énergie. La bonne tactique ?
Avec 6 562 exemplaires vendus dans l’Hexagone en janvier 2023, la Dacia Sandero domine le classement des ventes de voitures. Un succès qui dépasse même les frontières de la France puisque le modèle star de Dacia était également la voiture la plus vendue en Europe en janvier 2023.