
Le phénomène n’est pas nouveau mais sa recrudescence inquiète suffisamment pour pousser les gendarmes à tirer la sonnette d’alarme. Les vols de véhicule avec la méthode dite du « Mouse jacking » représenteraient 70 % des appropriations frauduleuses de voitures en France. Et l’investissement pour tromper l’électronique embarquée des véhicules modernes est à ce point dérisoire que le jeu en vaut la chandelle pour les margoulins. Au milieu, la victime dépossédée de son bien qui aura qui plus est du mal à convaincre son assurance de son larcin. Mais les choses bougent…